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Sculptures #09 de Olivia Benveniste : Les rêveries d'Olivia Benveniste. Sculptures est une web-série de 10 épisodes d'environ 60 à 90 secondes qui portent sur des œuvres d'art de la collection du Centre Georges Pompidou. Chacun des 10 épisodes traitera d’une sculpture différente, figurant toujours un corps de femme. L'animation est réalisée en animation 2D tradi-numérique.

Les quatre cathédrales, Strasbourg, Metz, Troyes et Reims que nous allons évoquer dans ce film sont très particulières et uniques au monde. Ici, 4 immenses vaisseaux de pierre aux atours de demoiselles racontent l’histoire mouvementée de la terre des Seigneurs d’Alsace, de Lorraine et de Champagne. Nous avons choisi d’étudier l’origine de l’art gothique et les initiations qu’ont suivi les compagnons du Moyen-Âge pour arriver à bâtir les plus belles œuvres architecturales de tous les temps. Les ingrédients que nous voulons mettre en œuvre seront consacrés aux évènements qui ont influencé sensiblement le cours du temps pour nous permettre de profiter encore des traces du passé.

Siegfried est néo-historien. Avec son fidèle caméraman, il analyse les faits historiques à la recherche de la vérité. Ensemble, entre deux engueulades, ils explorent les lieux les plus énigmatiques et lèvent le voile sur des mystères terriblement mystérieux !

Episode 4 : Bartholdi est connu à travers le monde, notamment avec la Statue de la Liberté... Mais saviez-vous que c'est à Colmar que se trouve peut-être la "vraie" Statue ?...

Dans une région connue pour son passé sidérurgique, les Faïenceries de Longwy fabriquent depuis 150 ans des céramiques en émaux cloisonnés dont les couleurs éclatantes ont inspiré de nombreux artistes et designers. En suivant les étapes de fabrication des nouvelles collections, le film nous permet de découvrir le savoir-faire des artisans confrontés à l’imagination des artistes qui leur en font voir de toutes les couleurs.
De l’univers poétique et inspiré des créateurs Mathias et Jean Boggion à la gamme de couleur du designer Nicolas de Wael, c’est une plongée dans un monde étrange et merveilleux où tout est fait à la main, pour le plaisir des yeux et des oreilles.

La Manufacture Zuber de Rixheim s'est rendue célèbre dans le monde entier pour ses papiers peints panoramiques. Elle est la seule à ne pas avoir cessé la production de ces scènes depuis sa création en 1804.La similitude des matériels et la permanence des procédés d'impression confèrent à ces reproductions une valeur d'original et d'authenticité, notions que le film interroge en relatant la rencontre de cette technique singulière avec l' artiste non moins singulier qu'est Paul Cox.
La mise en scène filmique tente de produire ce qui pourrait se comparer à une anamorphose, à un déploiement de la surface cachée de l'image, une mise en contact visuel de ses couches structurelles. Et ce ne sera pas sans un certain humour, d'ailleurs propre à la démarche de l'artiste, que l'action parallèle de Paul Cox viendra revisiter, voire dérégler, les lois mêmes de ce processus immuable de fabrication afin de le porter vers un univers formel inattendu.